Le Gouffre de Padirac-La cascade d’Autoire et rocamadour

Après le petit-déjeuner, nous payons le solde de la location à Yannick et prenons la route vers notre prochaine étape, le Lot et plus précisément Martel.

4 h plus tard, nous nous garons sur un des parkings gratuits de Martel et allons faire un petit tour dans le centre du village en attendant 16 h, l’heure d’arrivée à l’hôtel à Gluges.
Nous en profitons pour réserver une table en terrasse place des consuls face à la halle du XVIIIe siècle.

Un peu avant 16 h, nous arrivons à l’hôtel à Gluges et la propriétaire nous fait comprendre d’une façon assez désagréable que l’enregistrement, c’est 16 h.
Nous attendons donc dehors en plein soleil comme les autres clients et prenons notre chambre à 16 h 05…Super l’accueil.

Un peu de repos après ces 4 h de route puis nous allons jusqu’au belvédère de Copeyre situé à 2 min de l’hôtel qui offre une vue panoramique sur la Dordogne.
De retour à l’hôtel, nous allons faire un tour à pied le long de la D43, jolie, petite route qui borde la Dordogne.

D43

Nous reprenons la route vers Martel pour rejoindre le restaurant « plein sud » réservé en milieu d’après-midi.
La terrasse du restaurant donnant sur la place des consuls est très agréable et le repas délicieux.

Ce matin, nous avons rendez-vous à 9 h 45 pour une visite libre du Gouffre de Padirac qui se situe à 15 km de Gluges.

Le timing est parfait, à peine entré sur le site, on nous demande de nous mettre dans une file pour le prochain départ, pass sanitaire en poche.

La visite commence par une descente de 103 m depuis un escalier extérieur. Nous restons quelques instants au fond du gouffre pour observer cette incroyable cavité.

Puis, nous pénétrons dans les entrailles de la terre et déambulons dans les galeries jusqu’à l’embarcadère pour parcourir une distance de 500 m sur le lac de la pluie.
Là, interdit de prendre des photos. He oui, il faudra sourire au retour pour le flash de la photo avec, en toile de fond la grande pendeloque qui est une stalactite de 60 m de long.
Viennent ensuite le lac des gours et la superbe salle du grand dôme dont la voûte s’élève à 94 m de hauteur.

Le trajet retour se fait soit en reprenant la barque, ce que nous avons fait, soit par un chemin alternatif, les 2 nous menant, bien sûr, au stand de vente des photos.
Nous en prenons une au tarif de 10 €, en clin d’œil à une visite lors de mon enfance, mais la médiocre qualité de la photo ne vaut pas ce tarif.
Après 1 h 30 de visite nous rejoignons la surface et le parking.

Tarifs et horaire 
Gouffre de Padirac

👉18,50€ par adulte
👉14€ pour les enfants de 4 à 12 ans

durée de la visite : environ 1h30

Étape suivante, la cascade d’Autoire qui n’est qu’à 10 min de route.

Nous arrivons par la D38 et cherchons un endroit pour nous garer, après le panneau indiquant la cascade. Nous trouvons par chance une petite place sur le bas-côté de la route.
Nous nous rendons compte par la suite qu’il vaut mieux aller jusqu’à Autoire où il y a un parking payant (2 € la journée) au début du sentier de randonnée de 1,2 km jusqu’à la cascade.
Du parking, on peut faire également le circuit en boucle de 5,6km

Nous remontons donc à pied la D38 jusqu’au panneau qui indique la cascade et avons 2 choix : monter jusqu’au point de vue au Hameau de Siran ou descendre directement à la cascade.

Du point de vue, on peut admirer le cirque d’Autoire et la cascade et nous en profitons pour lancer le drone.

C’est tellement joli vue d’en haut, que nous décidons de faire la petite balade qui nous mène jusqu’au bien de la cascade.
Le sentier est praticable mais assez glissant sur la fin.
En bas, la cascade est jolie, mais il y a beaucoup de monde.

Après cette agréable balade, nous poursuivons notre route jusqu’à Rocamadour et nous garons au parking payant de l’Hospitalet qui est le premier parking en arrivant par la D673.
Tarif unique à 6 € la journée… Il est 14 h… À oui, quand même !

Nous débouchons sur une artère remplie de restaurant, crêperie et terrasse animées à cette heure du déjeuner.
Mais où est la cité médiévale ?
Le restaurant « le belvédère » attire mon attention et effectivement, juste derrière, se trouve la vue immortalité par tant de photographes.

Du coup, une petite marche est nécessaire et nous pénétrons dans la cité par la porte du figuier.
Pour atteindre les 216 marches du grand escalier des pèlerins, il faudra traverser la rue Roland le Preux, bondée de boutiques de souvenirs et de « Pèlerins » déambulant de boutiques en boutiques.

Au pied du grand escalier, nous rebroussons chemin, car il y a trop de monde et nous quittons rapidement les lieux.
La visite de Rocamadour à peut-être plus de charmes à une période moins estivale, mais pour notre part, nous partons un peu déçus.

Je n’oublie pas, cependant, avant de partir, de déguster un bon sandwich au fromage de Rocamadour.

De retour à l’hôtel, nous profitons de la grande terrasse ensoleillée dont dispose notre chambre.

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