lundi 23 août
Ce matin, nous prenons notre temps car il n’y a que 80 km qui nous séparent de notre prochaine destination, le Parc National Marino Ballena.
tarif
12$ par personne
Nous arrivons sans encombre à l’hôtel villas Gaia situé à 15 min de route au sud de l’entrée du parc.
Le temps de déposer les valises et nous reprenons la route jusqu’à l’entrée du parc.
Le parking étant payant, nous laissons la voiture sur le parking de Bahia aventuras avec qui nous avons rendez-vous pour un tour en bateau et entamons à pied le kilomètre jusqu’à l’entrée du parc.
Après avoir franchi le poste des gardes forestiers, nous nous baladons sur la plage immense à marée basse et quasiment déserte jusqu’à Punta Uvita, cette formation rocheuse en forme de queue de baleine.
Nous ouvrons l’œil quand même…
De retour au poste de garde, nous déjeunons dans un petit restaurant à la sortie du parc, et regagnons le parking de Bahia aventuras où nous avons rendez-vous à 13h pour une balade en bateau, à la rencontre des dauphins et des baleines.
tarif
42$ par personne
La montée sur le bateau se fait dans l’eau et nous devons attendre entre chaque vague pour grimper sur le bateau.
Nous apercevons rapidement des dauphins à nez de bouteille (bottle noise dolphin) mais avec les vagues difficiles de prendre des photos.
Nous restons un bon moment à les observer, sans doute à cause de l’absence de baleines. Il faut dire que ça n’est pas la saison…
Ensuite nous longeons les côtes jusqu’aux grottes de Ventanas
Il n’y aura pas d’arrêt snorkelling non plus car la visibilité est très mauvaise.
Nous nous jetons quand même à l’eau pour nous rafraîchir un peu puis observerons quelques frégates et autres oiseaux marins.
Au retour, le bateau passe la barrière de vagues pour nous débarquer sur la plage qui est méconnaissable à marée haute.
Nous finissons cette journée par un magnifique coucher de soleil.
À la tombée du jour, les insectes nocturnes se réveillent, une minuscule grenouille pointe le bout de son nez et un groupe de singes hurleurs passe dans les arbres au-dessus de notre bungalow.
Leur cri, dans le noir, semble très impressionnant.