jeudi 19 mars

Après notre petit déjeuner, nous avons rendez-vous à 8h avec l’organisme Desafio pour une balade à cheval.
Un transporteur vient nous chercher à l’hôtel et nous dépose dans une sorte de ranch.

tarif:
65 $ par personne

Après une longue attente, on nous donne nos chevaux.
Le mien s’appelle « Pura vida » et celui de Christophe « snake »
Il n’y a pas de mors, alors je ne sais pas ce que cela va donner…

Un petit débriefing, un beau casque rouge, et nous voilà parti sur un chemin parfois en mauvais état!

Les chevaux marchent en troupeau, et je surprends un sabaneros (cow-boy au Costa Rica) jouer du lasso à l’arrière.
Je comprends mieux la vivacité des chevaux…
Peut-être pour rattraper le retard…

Nous distinguons au loin le volcan Arenal et le volcan Cerro Chato.

Après une heure d’équitation, nous laissons les chevaux au niveau de la plateforme supérieure d’où on aperçoit la cascade de la Paz

Le chemin de 300 marches qui descend au pied de la cascade est assez glissant et passe par un pont suspendu.
En bas, il faut marcher sur des rochers glissants et se mettre à l’eau pour être au pied de la cascade haute de 70 m.
Il y a déjà beaucoup de monde.

Nous reprenons le chemin jusqu’à la plateforme, où on nous offre une boisson et du gâteau.

Puis retour à cheval et arrêt sur le site de Maleku, nom d’une tribu indigène du Costa Rica.
C’est un site très touristique, avec démonstrations et ventes d’objets artisanaux.

Vu le retard, il est déjà 12h30 et nous devions faire le check out à l’hôtel à midi.
J’en informe le guide et il nous reconduit au trot jusqu’à notre transport qui nous attend.

Nous faisons le check out à l’hôtel avec une heure de retard, mais pas de soucis, nous pouvons compter sur la bienveillance des Costaricains.

Nous prenons donc la route pour notre prochaine destination, l’hôtel Fonda Vela à Monteverde.
Les 70 premiers kilomètres se passent sans problème, nous longeons la lagune d’ Arenal  et nous arrêtons pour prendre en photo un groupe de coatis sur le bord de la route.

Les 35 km kilomètres restants se font sur une piste chaotique et nous n’en voyons pas la fin.

Nous arrivons à Monteverde tout juste avant le coucher du soleil.